En m'avançant un peu plus, le château se découvre à moi.
Je passe le pont qui enjambe un sorte de douve, et me voici au bord de l'eau où des barques rangées invitent clairement à une promenade sur le Cher.
Certains - et ils sont nombreux - n'hésitent pas.
Il faut dire que le fleuve semble paisible à cet endroit, et le point de vue depuis une barque doit valoir le détour.
Les remparts, ai-je dit ? Je me tiens en fait sur les terrasses surélevées qui protègent des crues du Cher le jardin de Diane de Poitiers dont j'avais entraperçu le jet d'eau tout à l'heure. D'ici, il suffit de se retourner pour l'admirer dans son ensemble.
Une libellule intrépide vient se poser sous mon nez et me sort de ma rêverie : il est temps d'aller explorer d'autres parties de Chenonceau.
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